La Grand-Combe, une commune française localisée dans le nord du département du Gard, en région Occitanie, se caractérise par son exposition à un climat méditerranéen. Son réseau hydrographique est constitué du Gardon d'Alès et de la Trouche La commune abrite un patrimoine naturel notable, composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
D'un point de vue démographique, La Grand-Combe est une commune urbaine, comptant 4 955 habitants en l'année 2020, avec un pic de population atteint en 1954, s'élevant à 14 565 habitants. Elle occupe le rôle de ville-centre au sein de l'unité urbaine de La Grand-Combe et s'inscrit dans l'aire d'attraction d'Alès. Les habitants de la commune sont désignés sous le nom de Grand-Combiens et Grand-Combiennes. Le patrimoine architectural de La Grand-Combe comprend deux édifices classés monuments historiques : le puits Ricard, inscrit en 2008, et le monument aux morts, inscrit en 2018. Le territoire de La Grand-Combe se révèle vulnérable à divers aléas naturels tels que les événements météorologiques (tempêtes, orages, neige, grand froid, canicule, ou sécheresse), les inondations, les feux de forêts, les mouvements de terrains, et les séismes de faible intensité. Deux risques technologiques, à savoir le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, ainsi qu'un risque particulier lié au radon, complètent le panorama des menaces. Une plateforme publiée par le BRGM permet une évaluation rapide des risques associés à un bien, que ce soit par son adresse ou son numéro de parcelle.
La Grand-Combe est intégrée au territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Alès, regroupant 37 communes autour d'Alès, au sein des 31 TRI définis fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée, en raison des risques de débordements de la Cèze et des Gardons. Des cartes des surfaces inondables ont été élaborées pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans), et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, mettant en défaut tout système de protection). La commune a été déclarée en état de catastrophe naturelle en raison des dommages causés par les inondations et coulées de boue en 1982, 1992, 1995, 2002, 2008, et 2015.
La Grand-Combe se trouve également exposée au risque de mouvements de terrains, principalement lié au retrait-gonflement des sols argileux. Ce phénomène, susceptible de causer d'importants dommages aux bâtiments lors d'alternances de périodes de sécheresse et de pluie, concerne 51,6 % de la superficie communale (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Parmi les 737 bâtiments recensés en 2019, 594 présentent un risque moyen ou fort, représentant 81 %, en comparaison avec les taux de 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie détaillée de l'exposition du territoire national au retrait-gonflement des sols argileux est accessible sur le site du BRGM. Par ailleurs, l'inventaire national des cavités souterraines offre une localisation précise des cavités présentes sur le territoire communal.
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